Tu ne penses pas plus à elle qu'à l'oxygène que tu respires
mardi 2 octobre 2018
dimanche 30 septembre 2018
A la glaviot à propos du parler-craché
Wallah , je t'jure , direct de la street , en défonce quartier , zarma et nique sa mère
Il y a un parler transposé en notre langue qui donne l'impression que les types ne savent que cracher les mots
Il y a un parler transposé en notre langue qui donne l'impression que les types ne savent que cracher les mots
1102 ( yeux )
Elle est belle si belle peut-être pas toujours à ses yeux
Mais elle sait que chaque jour dans cette ville
Des milliers de paires viennent lui caresser chevelure , poitrine ou hanches
Elle est truite dans le courants des regards
Elle fraye son chemin
Mais elle sait que chaque jour dans cette ville
Des milliers de paires viennent lui caresser chevelure , poitrine ou hanches
Elle est truite dans le courants des regards
Elle fraye son chemin
1101 ( dalmatiens )
Lentement puis très rapidement
En grands coups de fouets claquant au mur ou en douces oscillations
En rythme ou en mouvements désordonnés
Le chien et sa queue en métronome de son désir
En grands coups de fouets claquant au mur ou en douces oscillations
En rythme ou en mouvements désordonnés
Le chien et sa queue en métronome de son désir
Ar-Men
Les naufragés atteignant la plate-forme du phare Ar-Men laissent sur la porte traces de leurs ongles
Aucune mains tendues à attendre
La présence de l'homme qui fût sa conquête a disparue , ne reste en ces lieux qu'un mécanisme
Le moderne en même confrontation du vide de la station service , du désert de la barrière de péage , du panoptique de la caisse automatique , de tant et tant de belles promesses d'éradiquer l'homme enfin
Du vide des coeurs
Lui faire subir à cette honteuse créature imparfaite le joug du rationnel , faire disparaître influx pour qu'adviennent les flux
Il faut le dire haut et fort que chaque automatisation - toujours et forcément si indispensable - est la négation même
Que la geste soit Ar-Men dans leurs godillots de plomb
Aucune mains tendues à attendre
La présence de l'homme qui fût sa conquête a disparue , ne reste en ces lieux qu'un mécanisme
Le moderne en même confrontation du vide de la station service , du désert de la barrière de péage , du panoptique de la caisse automatique , de tant et tant de belles promesses d'éradiquer l'homme enfin
Du vide des coeurs
Lui faire subir à cette honteuse créature imparfaite le joug du rationnel , faire disparaître influx pour qu'adviennent les flux
Il faut le dire haut et fort que chaque automatisation - toujours et forcément si indispensable - est la négation même
Que la geste soit Ar-Men dans leurs godillots de plomb
vendredi 28 septembre 2018
Inscription à :
Articles (Atom)