dimanche 27 mai 2018

Thell barrio - A toda madre

Soif , soif , soif

Ces terres de sang jamais rassasiées

Mexique , Algérie , Tchétchénie  ...


Taillis land - un ailleurs





Tout les gus , les paumés et les autres devenus émirs d'avoir tant forés . Métamorphosés  princes de la vie il suffit d'en croiser un revenu en (F)rance - l'alunissage si dur d'en avoir fréquenté tant , d'avoir bu tant de rasades de présence pure - à côté le retour d'Amstrong de la gnognotte . Les uns qui regardent sur écrans la vie défiler et d'autres qui enfilent . Quoi de plus étrange qu'une frontière pour un natif de la Grande-Bretagne ? Après avoir exploré dans son précédent opus celle de l'alcool - Boires et déboires en terre d'abstinence - le voici parti en Thaïlande dans son bouquin - Jours tranquilles à Bangkok . Lawrence Osborne en chercheur du désir , où se niche t-il ? J'ai , j'ai , j'ai le geai en parfait imitateur . Il a la patte du chat , observer , observer et paf un coup de style à la british - pan dans le mille . L'alcool réfugié dans d'internationales Pullman en islam faisant renaître la transgression de ne pas avoir à descendre au supermarché du coin pour se torcher .  Il suffit de demander autour de soi qui accompagne quotidiennement son repas de vin - les hologrammes en nourriture . Le désir tant et tant décrit et montré qu'il disparaît , - n'existant plus en occident que sous forme de grenades à  plâtre .
Cet amusant paradoxe que cette prohibition - dite moraline - est infiniment plus proche qu'ils ne veulent se l'avouer de celles qu'ils pensent condamner . C'est le combat des Mêmes tentant de s'annihiler , c'est le combat d'une cérébralité voulant devenir reine seule . C'est le  négatif   voletant vêtu de leurs oripeaux et se barrant à tire-d'aile .