Non , il est ce corps qui aura attendu qu'un toubib lui prescrive sérotonine matin midi et soir . Adieu l'écrivain .
Bienvenue aux aveux . De l'inquisition au KGB en passant par la télé-réalité ou l'autofiction - une sorte de flatulence qui parfume l'écriture .
Cette religion des aveux , cette tripaille à l'air , à laquelle Jean Carrière dans son livre Les cendres de la gloire aura succombé .
Ce n'est pas le prix d'un Goncourt , c'est l'addition d'un repas , aussi surement que le vide d'un estomac attire la nourriture , il attire l'écriture .